Harcèlement moral ou sexuel, vie privée, vie professionnelle, école…
C’est la psychanalyste Marie-France Hirigoyen à la fin des années 90 qui amène la notion de harcèlement sur la scène publique. En droit français la définition du harcèlement est précise : « ce sont des actes ou des propos tenus à l’encontre d’une personne dans le but de la détruire psychologiquement et/ou physiquement. Le harcèlement est le fait du pervers narcissique qui a comme objectif de détruire l’identité de la personne à qui il fait subir de façon récurrente et insistante des humiliations et des pressions destinées à obtenir de lui quelque chose contre son gré et, ce faisant, à susciter et entretenir chez l’individu un état de terreur ».
Le harcèlement mène la personne harcelée à une destruction lente. Perte du sommeil, perte de poids ou au contraire prise de poids, déprime, sentiment d’infériorité, de « folie », perte des repères, accablement, isolement, avec parfois de graves conséquences sur la santé physique et mentale.
Cela se traduit par des conséquences sur la santé physique ou mentale de la personne harcelée. Le harcèlement mène la personne harcelée à une destruction lente qui peut aller jusqu’à une perte du sommeil, perte de poids ou au contraire prise de poids, déprime, sentiment d’infériorité, de « folie », perte des repères, accablement, isolement, avec parfois de graves conséquences sur la santé physique et mentale.
Il n’y a pourtant qu’une solution possible, rompre la relation. La rompre en partant, quand c’est possible. La rompre en ne donnant plus prise à l’harceleur, comme dans toute situation de violence.
Ce peut être l’objet d’une psychothérapie.